Sensibilité respiratoire chez le cheval : comment agir ? Sep08

Sensibilité respiratoire chez le cheval : comment agir ?...

Derrière sa stature imposante et son apparente solidité, le cheval cache en fait un grand sensible soumis aux bactéries et aux virus au même titre que nous. Parmi ses points faibles, le système respiratoire du cheval est mis à rude épreuve tout au long de sa vie et doit être bien entretenu. Si vous êtes propriétaire d’un cheval, ce qui suit devrait vous intéresser.   Les maladies courantes Le cheval dispose d’un système respiratoire complexe qui doit lui permettre d’alimenter en oxygène son imposant organisme. Mais on le sait, plus un appareil est complexe, plus il est soumis aux pannes et aux problèmes : le cheval ne fait pas exception et peut souffrir des maladies suivantes. Le cornage (ou hémiplégie laryngée) est une paralysie des cordes vocales qui se remarque par un bruit anormal pendant l’effort. On constate que c’est principalement la corde vocale gauche qui est soumise à une telle paralysie : elle provoque alors des vibrations involontaires et étouffe le cheval. Cette maladie influe sur les capacités du cheval à pratiquer une activité intense, ce qui implique des performances à la baisse, et peut s’avérer très dangereuse, en particulier si elle conjuguée à une autre maladie respiratoire. L’intervention chirurgicale est souvent la seule solution. L’emphysème pulmonaire est une maladie chronique qui se présente sous la forme d’une diminution de la capacité pulmonaire, le sang n’est donc plus assez oxygéné. S’ensuivent toux et respiration pénible qui influent sur les performances. L’origine peut être virale ou liée à l’inspiration de poussières : air frais, régime alimentaire et soins respiratoires sont la clé de la rémission. La gourme est liée, quant à elle, à la prolifération de bactéries dans la gorge. Elle entraine fièvre, perte d’appétit et abcès buccaux. Elle est à l’origine de douleurs et de souffrance pour...

Comment éviter le blues de la rentrée...

Chaque année vous tentez de l’éviter, mais à chaque retour de vacances le blues de la rentrée refait surface. Pas le peine de paniquer, un minimum de sérieux vous permettra de rester en haut de la vague. Reprendre un rythme Fini les apéros qui durent jusqu’à pas d’heure, les grasses matinées en milieu de semaine, la boîte à lettres regorgeant de factures… Il est temps de reprendre un rythme. La priorité numéro un reste le sommeil. Même si vous n’en n’éprouvez pas le besoin, couchez-vous au plus tard à 23h. Bien dormir, c’est l’assurance d’une concentration optimale. Pensez également à déjeuner à heures régulières. Votre organisme fonctionne telle une pendule. Vivez le comme un changement d’heure. Pensez positif ! Le mal hexagonal ne résiderait-t-il pas dans le manque d’enthousiasme ? Les étrangers pointent souvent le Français comme un râleur… et ils ont raison. Souvenez-vous des bons moments passés avec vos collègues ; remémorez-vous les dossiers que vous avez portés et dont votre hiérarchie s’est appuyée comme faire-valoir. En somme, n’oubliez pas que le travail rythme une partie de votre existence et qu’il en ressort des aspects positifs. La rentrée est également synonyme de remise à plat des dossiers. A l’instar des enfants qui reprennent la classe avec de bonnes intentions, n’hésitez pas à devenir force de proposition. Vous verrez à quel point le temps passe plus vite lorsqu’on se sent pleinement impliqué. Le blues de septembre ne vous apparaîtra plus que comme un sujet de magazine loin de vos...

Le revêtement bi couche...

Le terme peut sembler barbare à première vue mais le revêtement bicouche est un procédé qui peut vite s’avérer vital pour les activités de nombreuses entreprises qui doivent pouvoir bénéficier de produits capables de résister aux agressions extérieures : du bâtiment au mobilier urbain, zoom sur un revêtement méconnu du grand public, mais qui dispose de qualités réelles.   Qu’est-ce que le revêtement bi couche ? Le revêtement bi couche, comme son nom l’indique, est un revêtement qui propose deux couches de poudre sur un même support métallique pour une plus grande résistance. La finition est bien meilleure et le gain de temps est vraiment considérable. Ce revêtement s’applique aussi bien sur les bâtiments que sur le mobilier urbain ou dans les milieux maritimes La couche primaire permet d’assurer la protection et permet une parfaite adhérence entre la couche de finition et le matériau recouvert. Quant à la couche de finition, elle permet d’obtenir une résistante beaucoup plus importante tout en étant anti-adhérente et résistante à l’eau ou à l’abrasion.   Les avantages de ce type de revêtement En utilisant ce type de revêtement on gagne un temps considérable que ce soit pour les applications riches en zinc avec une couche primaire et une couche de finition ou pour les applications vernis poudre avec une couche pour la teinte et une autre pour le vernis. Ce revêtement à double couche est capable de supporter des températures beaucoup plus élevées que les autres polymères et peut être exposé à 260°C en continu et même jusqu’à 290°C en pointe. Ce type de procédé permet de garantir une étanchéité des matériaux tout en leur assurant une résistance excellente sur le long terme même face aux intempéries ou à des conditions d’utilisations particulières et intenses. Parmi les sociétés qui...

Astuces et conseils pour changer de voiture...

Qualité et sécurité Lorsque l’on choisit son véhicule, autant profiter d’un modèle mêlant fiabilité et sécurité des occupants. Si les mauvaises surprises sont toujours possibles, cassons un mythe et rappelons que sur les allemandes, françaises, tchèques ou coréennes, la fiabilité et le niveau de sécurité sont souvent similaires. Sur le plan du comportement routier, il n’existe plus de voitures dangereuses en conduite normale, grâce notamment à certaines associations d’usagers qui réalisent des essais. La grosse différence se fera principalement dans l’habitacle, même s’il faudra attendre 60 ou 80 000 km pour que des petits bruits de plastiques ou des sièges un peu mous gâchent la vie quotidienne. La voiture qu’il me faut Prix, confort de conduite, ligne, prestations, consommation voici les principaux éléments que nous prenons en compte pour choisir un véhicule. Souvent oublié, l’entretien est également un argument de poids. Un 4×4 hybride spacieux consommera certes moins qu’une berline classique, mais le prix des pneus ou d’une pièce de carrosserie pourra faire regretter son achat. Il peut en aller de même pour certaines marques peu diffusées, pour lesquelles la disponibilité des pièces ou leur présence dans les casses est limitée. Souvent mise en avant, la modularité est à considérer avec circonspection. Certaines options s’avéreront indispensables, mais il n’est pas sûr que vous ayez la volonté d’enlever quotidiennement des sièges pesant 20 kg, pour emmener votre vélo. Pour certains modèles, le surcoût de quelques centaines d’euros peut avantageusement être investi dans un porte-vélo ou une petite remorque plus polyvalente. Des démarches facilitées Enfin, n’oubliez pas qu’à l’aire d’Internet, il n’est plus nécessaire de faire la queue 100 ans à la préfecture pour obtenir votre nouvelle carte grise. Certaines entreprises spécialisées vous permettent en effet d’éditer votre carte depuis votre domicile, de régler via un...