Comment bien choisir son éleveur de yorkshire terrier

Extrêmement populaire, le yorkshire terrier est un petit chien vif et intelligent qui sait se montrer affectueux envers ses maîtres. Ce petit compagnon fait l’objet, malgré lui d’un véritable business qui peut, dans les cas les plus extrêmes, nourrir un trafic juteux (voir l’actualité de juin 2014 au sujet du trafic d’animaux dans les animaleries parisiennes, à lire ici). Mais sans aller jusque là, il y a quelques conditions à connaître pour adopter son yorkshire dans les meilleures conditions. Petit guide des bonnes pratiques et des réflexes à adopter pour bien choisir son yorkshire.

 

Les bons réflexes de l’adoptant

Avant toute chose, il faut se poser la bonne question : suis-je prêt à adopter un chien ? La réponse peut tomber sous le sens mais malheureusement, elle ne l’est pas toujours. En effet, alors que le chien est de moins en moins utilisé comme un animal de travail, sa place en tant que compagnon augmente dans les foyers français. Mais nombreux sont ceux qui voient dans le chien un objet de consommation à l’image d’une télévision ou d’une commode.

Adopter un yorkshire (et cela s’applique à tout animal), c’est accepter de s’en occuper : nourriture, jeu, affection et interactions sociales font partie des obligations, jusqu’à la fin de vie du chien. Si vous adoptez un chiot yorkshire, vous assumez le fait qu’il va devenir adulte et disposer de son propre caractère : ce n’est pas parce qu’il n’est plus « mignon » qu’il doit être abandonné.

Cela étant dit, il y a quelques points à connaître quand on adopte pour éviter de se faire arnaquer. Il est tout d’abord interdit par la loi de vendre ou d’acquérir un chiot de moins de huit semaines : tout mignon qu’il soit, le chiot doit être totalement sevré avant toute transaction sous peine d’amende. De la même manière, le vendeur doit vous remettre une attestation de vente, un certificat de bonne santé établi par un vétérinaire ainsi que l’identification (puce ou tatouage), le certificat de naissance attestant de l’inscription au LOF si tel est le cas et, enfin, le carnet de vaccination. Procédure suivie également à l’élevage Oki Square Kennel.

De plus en plus de vendeurs particuliers, utilisant les petites annonces en ligne (mais le phénomène peut également toucher des professionnels) vous proposeront des prix défiant toute concurrence pour votre chiot mais en faisant abstraction de ces éléments qui pourraient vous coûter cher par la suite. Sans compter les risques pour la santé du chien si les conditions ne sont pas respectées, pensez-y.

 

Où adopter un yorkshire terrier ?

Pour votre chien, tournez-vous vers un éleveur de yorkshires reconnu : intéressez-vous aux conditions d’élevage avant tout pour convenir de la qualité de celui-ci. Un bon éleveur prendra soin de ses chiens et de ses chiots en leur assurant un espace vital convenable, ainsi que des soins appropriés (et par soins, j’entends également un travail de socialisation et de présence).

À quelques heures de Paris, dans la Sarthe (72), l’élevage Oki Square Kennel est un élevage qui propose des chiots en bonne santé, élevées en pleine campagne sur une grande propriété. L’élevage comporte de grands champions internationaux inscrits au LOF, ce qui donne la possibilité d’adopter des chiots respectant les divers standards de la race.

D’ailleurs, il est intéressant de noter que l’éleveur derrière le bien-être des chiens se refuse à forcer la « production » de yorkshires toy (une version miniature née de parents normaux), préférant laisser agir la nature : les chiots sont ainsi respectés et assurés de naître en bonne santé. Un gage de qualité qui rappelle que le yorkshire est un être vivant digne d’être respecté plutôt qu’un objet de consommation qui doit se plier à la volonté de l’acquéreur.

N’oubliez pas, pour un bon chien, il faut un bon maître : donnez de l’amour et des soins à votre yorkshire et vous verrez qu’il peut être le meilleure compagnon qui soit, vous donnant joie et amour.